Type de texte | source |
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Titre | Discours ou traité des devises |
Auteurs | Amboise, François et Adrian d’ |
Date de rédaction | |
Date de publication originale | 1620 |
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, p. 118
Nous lisons qu’Alexandre le Grand édicta des peines sévères contre tout peintre autre qu’Apelle qui reproduirait ses traits, estimant que seul ce grand homme était capable de donner à son image cet aspect imposant et magnanime que les Grecs ne pouvaient voir sans l’acclamer ni les barbares sans le craindre et l’adorer.
, p. 4
Car quant à la face du Roi faite après le naturel, tout chacun n’est pas capable d’en avoir une au vif, ni de la payer ce qu’elle vaut, et aussi qu’il se trouve peu de bons ouvriers dignes de s’en attribuer la gloire, qui fut cause qu’Alexandre le Grand ne voulait être représenté de relief, sinon du ciseau de Lysippe ni en plate peinture, sinon du pinceau d’Apelle.
Dans :Apelle et Alexandre(Lien)
, p. 4-5
Et faut que nous confessions que l’accusation de Tasse contre notre nation a quelque apparence quand il se rit de nos vieux peintres trop grossiers, qui en leurs tableaux ajoutaient de petits mots, ici est le lièvre, ici le chien, vrai certain et assuré témoignage de leur ignorance, il a pris cela d’Élien.
Dans :Peintres archaïques : « ceci est un bœuf »(Lien)